Marco Landi

Innovation, Pilotage des risques, Management, Intelligence artificielle, Transformation numérique et Leadership

« L’intelligence artificielle n’est pas un futur lointain : c’est aujourd’hui qu’il faut choisir si elle servira l’homme ou le contraire. »

Marco Landi a fait partie de l’équipe de direction d’Apple qui a ramené Steve Jobs, après 11 ans d’absence.

Marco Landi est d’origine italienne, diplômé de l’Université de Bologne en ingénierie des télécommunications et d’un programme exécutif à INSEAD. Il a bâti une carrière internationale dans la haute technologie chez Texas Instruments puis au sein de Apple Inc., où il a occupé des responsabilités mondiales. Il est aujourd’hui président de l’Institut EuropIA et fondateur du World AI Film Festival (WAiFF) qui explore les liens entre IA, art et société. En 2025, il continue à animer des conférences sur l’IA éthique et la transformation numérique et participe à la création d’écosystèmes d’innovation en France et en Europe. Il est également très engagé au sein du comité d’experts du smart deal des Alpes‐Maritimes, mettant la technologie au service des territoires. 

Marco Landi incarne un profil rare où la maîtrise technique rencontre la vision stratégique et humaine.

Après une carrière fructueuse dans l’univers des semi-conducteurs et des technologies globales, il s’est tourné vers un enjeu qui le passionne : l’essor de l’intelligence artificielle et son impact sur l’homme, le travail et la société. Il considère que l’IA n’est pas simplement un outil de productivité, mais un levier de transformation à condition d’être pensée, conçue et déployée avec un sens de l’éthique, de la responsabilité et du bien commun.

Dans ses interventions, Marco évoque librement son expérience chez Apple, son époque de « transformation globale », mais surtout les nouveaux défis qui attendent les organisations : souveraineté numérique, formation, inclusion, transition écologique. Il invite ses auditeurs à sortir des schémas de pensée traditionnels, à anticiper les mutations plutôt qu’à les subir, et à faire de l’innovation un vecteur d’humain, non de technocratie.

Que ce soit lors d’un atelier sur l’IA appliquée, d’une keynote sur l’avenir des entreprises, ou d’une table-ronde sur la convergence de l’art et des algorithmes, il adapte son propos pour toucher les dirigeants, les startups et les acteurs de la société civile. Son ton est inspirant, précis, et toujours orienté vers l’action : comment passer de la compréhension à la responsabilité, de l’émergence technologique à la culture partagée.